martes, 19 de marzo de 2019

USA sanctionne les entreprises cubaines

Écrit par Prensa Latina
Le gouvernement des États-Unis a ajouté aujourd'hui à sa liste des sociétés soumises à des sanctions économiques cinq entités cubaines, une étape considérée comme hostile et injuste dans sa politique à l'égard de l'île des Caraïbes.Le département d'État a souligné dans un communiqué que la réglementation était due au soutien fourni par Cuba au gouvernement du président du Venezuela, Nicolás Maduro, légitimement élu en mai dernier.

Ce texte accuse délibérément les entreprises de l'île de bénéficier de l'armée, des agences de renseignement et des services de sécurité, éléments qui, selon les analystes, font partie de la rhétorique et de la stratégie américaines visant à étouffer l'économie du plus grand des Antilles.

Washington a également annoncé des sanctions à l'encontre d'une banque russe qui, selon lui, entretient des relations commerciales avec une compagnie pétrolière vénézuélienne.

Un éditorial paru dans le New York Times assure que cette mesure constitue le stratagème le plus récent visant à mettre fin au soutien financier offert par certaines nations au territoire sud-américain.

Le département du Trésor américain indique dans un communiqué qu’il a infligé des sanctions à la Evrofinance Mosnarbank, dont le siège est à Moscou, qui a "apporté son aide, son soutien ou son soutien financier, matériel ou technologique à" Petróleos de Venezuela (PDVSA), inclus dans Janvier sur la liste noire de l'administration du président Donald Trump.

Les sanctions à l'encontre de Cuba s'inscrivent dans le cadre d'une reprise de la politique américaine au cours des dernières semaines, qui a ouvert la possibilité d'engager des poursuites contre certaines sociétés cubaines en vertu du titre III de la loi Helms-Burton.

Cette décision de Washington l’a accompagnée dans un appel lancé à des hommes d’affaires étrangers "pour qu’ils réexaminent leur situation en cas de trafic d’actifs confisqués et d’appui à la dictature cubaine", leur version des nationalisations selon laquelle, selon le droit international, la révolution naissante 1960

Par l'intermédiaire de son ministre des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez, Cuba a rejeté la nouvelle action hostile des États-Unis et l'a appelé cela une "menace inacceptable vs le monde".

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